La vitamine D fait actuellement l’objet de nombreuses publications et nous citons les conclusions de quelques unes d’entre elles ci-dessous.
Le risque d’infections respiratoires hautes est plus élevé chez les personnes qui ont un taux de vitamine D plasmatique bas.
Le risque de fractures de hanche est plus élevé lorsque la concentration de vitamines D plasmatique est basse.
Les relations entre concentrations plasmatiques de vitamine D et le cancer de la prostate sont un peu discordantes : un article récent du British Journal of Cancer conclut que des concentrations moyennes ou élevées de 25(OH)D sont de meilleur pronostic quant à la mortalité par cancer de la prostate que des concentrations basses ; un autre article paru dans le JNCI en 2008 concluait qu’il n’y avait pas de relations entre le risque de cancer de la prostate et les concentrations de vitamine D mais que des concentrations élevées pouvaient correspondre à des cancers plus agressifs.
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